Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/198

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page n’a pas pu être entièrement corrigé, à cause d’un problème décrit en page de discussion.
192
PALMIRA.

dans ses réflexions…[illisible][1] incessamment il allait perdre l’objet de sa fougueuse passion… L’idée d’un enlèvement se présentait bien à son imagination ; mais probablement Palmira ne se trouverait pas seule à sa sortie de Mont-Fierry ; elle se ferait escorter de quelques-uns des fermiers qui fréquemment allaient à la ville, et l’éclat que pouvait faire cette aventure s’accordait mal avec sa profonde hypocrisie. Il en rejeta donc la pensée ; néanmoins son cœur et son esprit étaient trop astucieux pour ne pas en concevoir d’autres, peut-être plus terribles pour elle, mais moins dangereux pour lui. Il faut la réduire, s’écria-t-il tout haut, (tant il était animé) à n’avoir d’autre

  1. Note Wikisource : la fin de la ligne est blanche.