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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/227

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PALMIRA.

nom respectable. Je lui appartenais d’assez près, du moins, pour rejeter de toute mon énergie celui de Carloni… Ô miladi Sunderland ! daignez vous rappeler que c’est là l’unique cause de votre colère. J’espère donc mon pardon, et qu’une de vos larmes tombera sur le sort de la fille d’Élisa…

« Que m’apprend-on ? Abel, Simplicia, vont arriver. Ô Dieu ! vous me forcez à jeter un dernier regard sur cette terre de douleur… J’entends d’éclatantes fanfares ; on orne cette croisée de fleurs : arrêtez ! arrêtez ! cette chambre dans un instant, ne sera plus qu’un tombeau…