Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
222
PALMIRA.
« Mon cher Abel, ma bien-aimée Simplicia, recevez mes bénédictions à cette heure suprême !… Il ne faut pas m’appesantir trop long-temps sur vos images. Peut-être le sentiment du regret détruirait-il le calme parfait que j’éprouve.
« Pardonnez-moi le chagrin que je vais vous donner en songeant que je vais habiter un monde où je ne serai ni opprimée, ni humiliée, ni souillée. [1] Je te donne le baiser de la plus tendre
- ↑ Elle rapporte ici les paroles qu’elle leur avait adressées dans son rêve mémorable qu’elle avait écrit, et que l’on a trouvé dans ses papiers.