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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/58

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PALMIRA.

restes de la maréchale en seraient partis. Ils devaient être transportés à Paris dans l’église de Notre-Dame, et déposés ensuite dans le caveau de la famille Saint-André. Un prêtre et une partie des domestiques devaient escorter le convoi, et les autres serviteurs rester à Nice jusqu’à la levée des scellés.

Palmira était déjà hors du vestibule, et avait pris le chemin du rivage, lorsqu’elle fut appelée par la fille du maître du logis. La première se retourna machinalement, se souciant peu d’une conversation avec cette jeune fille inconsidérée et bavarde. Mon Dieu, miss Delwine, lui dit celle-ci, comme vous voilà pâle et abattue ! au lieu de songer