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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/80

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PALMIRA.

lointaines, le travail et la lecture conduisirent Palmira, sans beaucoup d’ennui, à l’époque où devait arriver la réponse de la duchesse.

Effectivement, un matin, Carloni entra chez elle, rayonnant de joie, et une lettre ouverte à la main : il la lui remit ; elle reconnut, non sans émotion, les armes des Sunderland, et elle lut ce qui suit :

« Je suis fâchée, mon cher Carloni, que votre sœur ne puisse remplir les vues que nous avions sur elle ; je m’en console par la certitude qu’un mariage avantageux va faire aussi son bonheur. »

« Je vous rends graces des recherches qui vous ont fait découvrir, pour la remplacer, une jeune per-