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BEETHOVEN
Léonore :
(le duo enivré)
(puis, les cinq premiers morceaux de l’opéra),
La Sonate Aurore, op. 53 :
(une quantité d’esquisses et de retouches, autant que pour l’Héroïque. Et de même que pour l’Héroïque, la fraîcheur et la verve, qui semblent spontanées, sont — nous le verrons plus loin, en étudiant les Sonates — le fruit d’un long labeur, après des tâtonnements informes) ;
Le début du Concerto pour piano en sol, op. 58 :
Le Scherzo de la Symphonie en ut mineur, qui brusquement se love et déroule ses lourds anneaux de cobra[1] :
1. L’esquisse indique ensuite le trio en majeur.
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