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III
LE SILENCE DE GŒTHE
e silence ! L’arme mortelle.
La grande arme de
Gœthe. » écrivais-je en
1927, à propos de l’attitude
de Gœthe envers
Beethoven, après leur
rencontre de Teplitz,
c’est-à-dire depuis la fin
de 1812 jusqu’à la mort
de Beethoven.
J’ai, depuis, repris la question de plus près, et, plus minutieusement informé de la vie musicale de Gœthe pendant ces quinze années (1812-1827),