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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/125

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LA DOROTHEA-CÆCILIA
Op. 101



La plus belle œuvre de la période nouvelle, où lame, discrète et nuancée, s’exprime mezza voce, est la sonate op. 101, la Dorothea-Caecilia.

À la vérité, elle appartient à deux époques : car sa composition a été longue, et le travail, considérable. Il faut d’abord tâcher d’en établir la chronologie. Elle est encore discutée. Les indications de Schindler sont peu solides ; et le plus sûr est d’étudier les textes mêmes