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LA GRANDE SONATE OP. 106
« Montre ta puissance, Destin !
« Nous ne sommes pas les maîtres de nous-mêmes : ce qui est arrêté, doit être. El qu’il soit
donc ! »[1] (Note intime de 1816.)
vant d’entrer dans la Missa Solemnis,
il nous faut passer par
la Grande Sonate op. 106[2] ;
elle en constitue, comme le
narthex de Vézelay, une grandiose
avant-nef.
La composition de l’op. 106 est inscrite, pourrait-on dire symboliquement, entre les bor-