Aller au contenu

Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/396

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
382
BEETHOVEN

ri j- r • rr i—r-T—P—i—r i — " S I 1 d i i l . i ! i ! I

  • 4 i

, Jlf 1 / / —tfl — ?~7rf !1i -Lli S ! ~f ~ ~ ’ — i i—— —if—|—1—i

!or			

rf- T-ï< . f . • — —* i -i i ai 1 •• *

! r i • ! i j P

$ • 1 ! i — L _ • -i—‘— a Le motif enthousiaste passe de voix en voix ; elles se poursuivent, elles se chevauchent, elles se rejoignent enfin en un unisson triomphal, sur les mots : « In excelsis Deo », d’où elles plongent soudain dans le profond et piano « Et in terra pax » des basses : par un mouvement semblable à celui de Hændel, dans son chœur du Messie : « Ehre sei Gott ! », qui brusquement passe de l’éclat bruissant des voix et des instruments au recueillement à mi-voix : -H- . . rt î i 1 y-v ’ n n i i r-’  ; M, ’A 5 «M-JL — -12. H, j Mais le cœur de Beethoven réchauffe la calme promesse, avec la belle phrase de bénédiction des quatre voix harmo¬