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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/453

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

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L’ébranlement est produit. Dans l’oreille de Beethoven, grondent les pulsations des k «tüuv timbales : 1 S I t~v T SUSHzT .7, !•••, Lj ■ f ~yi— —L —, (a Timbales, mais au loin... Et après, VAgnus, comme au commencement. ») A cette menace guerrière la paix saura-t-elle s’opposer ? Son chant s’élève, en « cantus firmus », doux et fier. Il s’essaie, en valeurs diverses, sous diverses formes rythmiques, en maintenant d’abord sa ligne ferme, sûre, sans faiblesse : A,vVt -  : i r ~7)— -o- 0 i ”6 —9- 0 l_q_ V —t—