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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/560

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BEETHOVEN

E ne seconde fois, sur la marche de 1 escalier, au-dessus, la promesse, pp., se répète, dans la tonalité de mi bémol : Mais l’atmosphère n’en devient que plus trouble et plus hantée ; elle frémit d’un débat invisible entre des forces mystérieuses ; le double trille en ré et en la bémol les met aux prises, s’efforce en vain de les unir. Du la bémol qui plaintivement a succédé au sol, vainement atteint, impossible à maintenir, dépassé, la voix continue de monter, par intervalles chromatiques, en s’arrêtant tous les deux pas, jusqu’au plus haut, où, d’un suprême élan, elle retrouve la montée d’espoir de VArietta 1 : —V—4r— H— ■[■J T —L—h_i

1 J- 1. Cf. Arietta mesures 5 et 6 : i