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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/571

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I
LES BRENTANO



Les trois dernières Sonates pour piano pourraient être mises sous le signe : « Brentano ». Car toutes les trois ont été, en volonté, sinon en fait, dédiées à cette famille de nobles amateurs, que Beethoven a appelés « ses uniques amis » — non seulement des dernières années —, mais de toute sa vie[1].

L’op. 109 porte la dédicace : « … dem Fräulein Maximi-

  1. « … meiner einzigen Freunde der v. B… » (Billet des premiers mois de 1823, à Schindler).