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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/585

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

Le voisinage de la Messe s’y fait sentir. C’est, tandis qu’il la composait, un retour de Beethoven sur soi-même. Les numéros 6 et 7 offrent ces successions brusques et ces contrastes caractéristiques de la vie intérieure de Beethoven. D’autant plus exactement notés ici que Beethoven n’y était pas gêné par la nécessité artistique de les faire rentrer dans le cadre de la forme musicale imposée. LWidanîe-introduction du numéro 6 évoque une de ces interrogations solitaires que posent les derniers quatuors : Le vieux homme, comme Hans Sachs, s’absorbe dans sa question. Il rêve. Et voici l’esprit débridé, telle une volée de lutins, qui s’empare des bribes de la question (la-si-do) : n ’ ♦ t*- - t -—rn • -, ^ / i -• " i •î i -i t^TT -7 1 -ri i ’ii . ; !... ’ . t ...» t : u i r -r- rr ! i . r. ’ _ - 1 r- •  ! I r . 1 > ! JL 1 Vf . s. -, i *i J X ’ ' .. . . i i i i s i -r / / / 1 1 1 i i ■ 1 H Elle se transforme en un jeu espiègle :