ous avons dit quelle importance
documentaire offrent, pour l’histoire
de Beethoven, ses Cahiers
de conversations (Gesprächshefte),
auxquels il faut joindre le Manuscrit
Fischhofj 1. Beaucoup d’historiens
y ont puisé, mais d’une
façon très fragmentaire 2. Encore
aujourd’hui, il faut attendre la
1. Beethoven a laissé, à sa mort, environ 400 Cahiers de conversations, dont la moitié s’cst perdue. La Bibliothèque d’Etat, de Berlin en possède encore 137. (D’après Thayer, il y en avait 138, en 1855). Ils sont distribués, ainsi que suit : Année 1819 : 4 cahiers (a) Année 1824 : 23 cahiers, » 1820 :11 » » 1825 :23 » » 1821 : 0 » » 1826 : 29 » » 1822 : 3 » » 1827 :10 » » 1823 : 34 » » Au total, 5.523 feuilles, ou 11.046 pages. La ride 2 se trouve page 574.