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Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 1.djvu/41

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l’aube

Un jour, il n’y tient plus. Il a entendu dans la rue un chat, un chien, quelque chose de curieux. Il se glisse hors du lit, et ses petits pieds nus tapotant gauchement le carreau, il veut descendre l’escalier pour voir ; mais la porte est fermée. Pour l’ouvrir, il monte sur une chaise : tout s’écroule, il se fait très mal, il hurle ; et par-dessus le marché, il est encore fouetté. Il est toujours fouetté !…