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Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 4.djvu/174

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Jean-Christophe

deux heures du matin, dans un accès de folie, il sortit du lit, en nage et à moitié nu : il voulait aller tuer le grand-duc. Il était dévoré de haine et de honte ; son corps et son cœur se tordaient dans la flamme. — De cette tempête, rien ne s’entendait au dehors : pas un mot, pas un son. Les dents serrées, il renfermait tout en lui.