Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 1.djvu/201

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rien que le Désir de la nature, — unique, dévorant, et pur, comme le feu. — Ensuite, Annette, les yeux troubles et les joues allumées, s’arrachait au vertige, avec la certitude tremblante et enivrée qu’un jour elle succomberait…