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Et c’est alors ce larghetto 3/4 en mi ♭ majeur, que Hændel appelait Musette, et qui est une des plus lumineuses visions de bonheur pastoral[1]. Toute une journée aux épisodes poétiques et capricieux se déroule sans hâte sur le beau refrain bourdonnant :
- ↑ M. Arnold Schering croit que l’idée de cette musette a été donnée à Hændel par une ritournelle de la S. Elena al Calvario de Leonardo Leo.