plan général d’Instruction publique, — section IV, intitulée : du dernier degré d’instruction, — proposait :
Article premier. — Les théâtres… les fêtes… font partie du second degré d’instruction publique.|90}}
Article 2. — Pour les faciliter,… la Convention déclare que les églises et les maisons ci-devant curiales, actuellement abandonnées, appartiennent aux Communes.
Le 4 pluviôse an II, — 23 janvier 94, — la Convention, présidée par Vadier, répartissait cent mille livres aux vingt théâtres de Paris qui,
en conformité du décret du 2 août, avaient donné chacun quatre représentations pour et par le peuple.
Le 12 pluviôse, — 31 janvier 94, — le comité de Sûreté générale recommandait aux directeurs des différents spectacles de Paris
de faire de leurs théâtres une école de mœurs et de décence,… mêlant aux pièces patriotiques… des pièces où les vertus privées soient représentées dans leur éclat.
Boissy d’Anglas, dans un écrit adressé le 25 pluviôse, — 13 février, — à la Convention et au comité d’Instruction,[1] demandait
- ↑ Quelques idées sur les arts, sur la nécessité de les encourager, sur les institutions qui peuvent en assurer le perfectionnement et sur divers établissements nécessaires à l’enseignement public, adressées à la Convention nationale et au Comité d’instruction publique, par Boissy d’Anglas, député du département de l’Ardéche.