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LE MONSTRE
Aussi, parfois, étant en pleine solitude
À creuser son cœur, son esprit,
Soucieux dans l’herbe qui rit,
Tourmenté devant l’eau pleine de quiétude,
On trouve ces entours de choses froids et doux
Tellement étrangers à vous,
Si fermés à votre torture,
Que l’on retourne à l’être humain, car on se fait
Hélas ! à soi-même l’effet
D’être un monstre dans la nature !