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Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/112

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88x _1.ns gu'ovns nnæa'rgx 78v Macaron? 71a) çîyav ,uü Im'I-n“. I‘nppmdmù.)Pour i’nppen droî.La lcme,s,ief‍l aionl rée: caufe de' la voielle qui s'enfuit. Le mot cf‍i propre aus chofes,qu'on dedle aus dicus ,lchucllcs on a cou— tume de pendre en cette Partie duzcmplequicf‍i nô- méc & parles Latins, 8: parles Grecs Tbolm.pùm.) La dame de Pctrarque. Thu/ànn.)Tofcans.


Du tout changé ma Circe enchanteresse,
Dedans ses fers m'enferre, emprisonné,
Non par le goût d'un vin empoisonné,
Ni par le just d'une herbe pecheresse.

Du fin Grégeois l'espée vangeresse,
Et le Moly par Mercure ordonné,
En peu de tans du breuvage donné
Forcerent bien la force charmeresse.

Si qu'a la fin le Dulyche troupeau,
Reprint l'honneur de sa premiere peau,
Et sa prudence auparavant peu caute :

Mais pour la mienne en son lieu reloger,
Ne me vaudroit la bague de Roger,
Tant ma raison s'aveugle dans ma faute.

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damca Circcjldigqu’clle l‘arcllemcntf‍ié efes an

clnnçemà'nsquc la bague de Roger ne ferait pas fuf—

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