Apres ton cours je ne haste mes pas,
Pour te souiller d’une amour deshonneste,
Demeure donq. Le Locrois m’amonneste:
Aus bors Girés, de ne te forcer pas.
Neptune oiant ses bläsphemes d’abas,
Acabla là son impudique teste
D’un grand rocher au fort de la tempeste.
Le ciel conduit le meschant au trespas.
Il te voulut, le meschant, violer,
Lors que la peur te faisoit acoller
Les piés vangeurs de sa Greque Minerve:
Moi je ne veus, qu’à ta grandeur offrir
Ce chaste coeur, s’il te plait de souffrir
Qu’en l’immolant de victime il te serve.
MV R E T.
.Apm ton «un ) Pourfuiuànt fa dame , ac la yofang fuir,il tache a la retenir: ditänt qu’il ne la Poux-fui; u pour la violer : ain: lèules’nent pour lui rama" on ceux-,6 fon Plaifi r eftde le teteuoir. Le habit)" en. tend Aiaxfi sd’Oilée, leguelpour anoir voulu viole: Cafl ‘ànaregni fl aiantla reur des Grecs , Paraîtra}. rée danÿ' le "mâle de Mineruefi infi qu’il t’en retour- noit en Grece, t par la déefl 'e foudroiézoommg raton te,Vergile au premier de l'EneideJl eut routebh e06 preferué de ce danger , t‘âlne fe fut prima 'Mgféer'
A difant qu'en deyit des diensil efchapanlt. Car loti
Neptune couronfi ë printvn quartier de quelqu es ro- che“,er nommaient les rocher! Gyré: , 8c le lui hnca danshmerzaeanfe dequoifi ien t6: rente nain. Voi Homere au nième del'Odyæ a: {5è} nageurs.) Les pie: Minerve , qui '
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