Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/140

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Depuis le jour que le trait ocieus
Grava ton nom au roc de ma memoire,
Et que l'ardeur qui flamboit en ta gloire
Me fit sentir la foudre de tes yeux :

Mon coeur ataint d'un éclair rigoureus
Pour eviter le feu de ta victoire,
S'alla cacher dans tes ondes d'ivoire,
Et sous l'abri de tes flancs amoureus.

Là, point ou peu soucieus de ma plaie
De çà de là par tes flots il s'esgaie,
Puis il se seiche aus rais de ton flambeau :

Et s'emmurant dedans leur forteresse,
Seul, pâle et froid, sans retourner, me laisse,
Comme un esprit qui fuit de son tombeau.

M V R E T. ' ‘ quü Mur.) Il dir, que dés]: four, qu'il 4min: de mourausf‍im cœur le laiifanr,:'en fuit vers û dame: 8: depuis u'cf‍l voulu reucnir vers lui..l.’15ri. )Lacouuer- ture.Ce mombri, femblc vcnirdu Latin ,4priœ,ç6; bien qu'il f‍inif‍ie tout le cônaireJinf‍icuidç-‘ie'; le mot. Iier,vient du Çrtc,).|'m, qui a Ioùèefoîs fié f‍inxf‍icazion. Duà’f‍läunJDe‘Êôîâil. du: __ _ ,ï quif‍im‘ def‍im tombeau.) Cenmñuuf‍ionww dit



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