Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/144

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Si qu'en despit de l'iver froidureus
Par la vertu de ses yeux amoureus,
Un beau printans s'esclouït de la face.

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Plus mile fois, que nul or terrien,
J’aime ce front ou mon Tyran se joüe,
Et le vermeil de cette belle joüe,
Qui fait honteus le pourpre Tyrien.

Toutes beautés a mes yeus ne sont rien,
Au pris du sein, qui lentement secoüe
Son gorgerin, sous qui, per à per joüe
Le branle égal d’un flot Cytherien.

Ne plus ne moins que Juppiter est aise,
Quand de son luth quelque Muse l’apaise,
Ainsi je suis de ses chansons épris,

Lors qu’a son luth ses dois elle embesoigne,
Et qu’elle dit le branle de Bourgoigne,
Qu’elle disoit, le jour que je fus pris.

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