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Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/160

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V Müd’amirit’f‍itampmf‍i )Selon Martialqui du, “le,” amerù,ama.Et Biô en quelques &agmês, qùinousfont ref‍iés de fesBucgliques, N 3 2-: m m7; ûkîovnr. 'w'ñ‘v ûhïumglîaù. a. 7v..» Amourjärlsfreretze noilfoint;)Voi cc qu'en ditHeroët en vn petit difcours ,qu‘il en fait apte: fa

parfaitte amie.


D'Amour ministre, & de perseverance,
Qui jusqu'au fond l'ame peus émouvoir,
Et qui les yeus d'un aveugle savoir,
Et qui les cœurs voiles d'une ignorance:

Vaten ailleurs chercher ta demeurance,
Vaten ailleurs quelqu'autre decevoir,
Je ne veus plus chés moi te recevoir,
Malencontreuse & mechante esperance.

Quand Juppiter, ce lâche criminel,
Teignit ses mains dans le sang paternel,
Derrobant l'or de la terre où nous sommes,

Il te laissa, Harpye & salle oiseau,
Cropir au fond du Pandorin vaisseau,
Pour enfieller le plus dous miel des hommes.

Dam minijln.) L'efperance en la vie humaine Produit de grau: bien: , 8c de grans maul . Par elle tel en un! uefois retenu en vie,qui autrement par le for ce de! ca ailés ferai: induit a occire foi- mefme '. fe- lon le dira d'OIiide, Vieux»: vidif‍iui abritant lut. Parainf‍i dirait Mennndre ,A'vOgoms-âwxäv'tâgd’ab‘f‍ie aucun: Mais au rebours elle ef‍i quelquefois domm' N le: nerueilles,reyaif‍l'ant le: homes d’un vain _' et, 86

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