M’outreperça, & la saison nouvelle,
Qui tous les ans rafraichit mes douleurs,
Et son oeillade, & sa parole sainte,
Et dans le coeur sa grace que j’ai peinte,
Baignent mon sein de deus ruisseaus de pleurs.
_ M V R E T. v Cefm': chien. )ll nombre beauçoup de choral ,def- 'quelle: ou le regatdpu louîefl uî remettant en memoi te le commencement de t‘es amouran 66min: a yleu. ter, Moifl nm Tua le: mfm,) Amafl è le: fl eurs. zi- byt,Q\_nñefi vn vent fort apte a la genention,a caufc qu’il en c au: 6c humideJufi in dit, que quand ce vent foufl iefl es iumam en Efpaigne conœinè't au [balkan- niffcmentgcs chenaux étant a lauue riue; ' 4
Entre tes bras, impatiant Roger,
Pipé du fard de magique cautelle,
Pour refroidir ta chaleur immortelle,
Au soir bien tard Alcine vint loger.
Opiniâtre à ton feu soulager,
Ore planant, ore noüant sus elle,
Dedans le gué d'une beauté si belle,
Toute une nuit tu apris à nager.
En peu de tans le gracieus Zephyre,
Heureusement empoupant ton navire,
Te fit surgir dans le port amoureus :
Mais quand ma nef de s'aborder est preste,
Toujours plus loin quelque horrible tempeste
La single en mer, tant je suis malheureux.
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