Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/170

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De toi, Paschal, il me plaît que j’écrive,
Qui de bien loin le peuple abandonnant,
Vas de l’Arpin les tresors moissonnant,
Le lon des bors ou ta Garonne arrive.

Haut d’une langue eternellement vive,
Son cher Paschal Tolose aille sonnant,
Paschal Paschal Garonne resonnant,
Rien que Paschal ne responde sa rive.

Si ton Durban, l’honneur de nostre tans,
Lit quelque fois ces vers par passetans,
Di lui, Paschal (ainsi l’âpre secousse

Qui m’a fait choir, ne te puisse émouvoir)
Ce pauvre Amant estoit dinne d’avoir
Une maitresse, ou moins belle, ou plus douce.

MVRET.

m :oi,Ptf‍ibal.) ll adref‍l'e ce Souci a Pierre Pakbal gentilhomme natif du bas pair de Languedoc, hôme, àurrela conoif‍länce de: [dental digne: d'vu bon ef- yritpufquelles ilapeu_d' nanti d’vne telle clo- quenoe Latinenue mène e Senne de Venif‍i: s'en eft quelque fois merveille. Le! huit renie" vers apar— tiencn: a la louange dudit Pakh . L’ amen: de: En derniers en aire de Foi. Va Je 124.753 1 mntmFI‘ - fmt.)Vas foàgneufemenr recueillant les rie en de l‘eloqnenee eCiceronJlditcela , aroejque l'af- ehalef‍l vn de: hommes le: mien: v s en Cleeron,‘

qui viuent pour le iourd'hui. 0mm, Fleuue af‍l'änc a TolofeJa ou Palèlul fane (à lu: ordinaire danœ. si m'DnmeichelPiene e Mnnleon Pronom de Durbä,cô(èiller en parlemença Tolofe.‘ 11W . smllët qu'il feinbkâaogmhn ‘5'» WJE Na: