dam; cypdle facrée a Venus. Me, M‘ont)
Vilenufi i dediéenVenus. EryeMonuignede Si?
61men étai: vn beau temple de Venus. '
Le pensement, qui me fait devenir
Hautain & brave, est si dous que mon ame
Desja desja impuissante se pâme,
Yvre du bien qui me doit avenir.
Sans mourir donq, pourrai-je soutenir
Le dous combat, que me garde Madame,
Puis qu’un penser, si brusquement l’entame,
Du seul plaisir d’un si dous souvenir?
Helas, Venus, que l’écume feconde,
Non loin de Cypre, enfanta dessus l’onde,
Si de fortune en ce combat je meurs,
Reçoi ma vie, O deesse, & la guide
Parmi l’odeur de tes plus belles fleurs,
Dans les vergers du paradis de Gnide.
M RET.
Lepmfanm.)%elque bône ùme(a ce que l'en m'a '
penfer ) auoit fait promet? de lui faire quelque
trainemenr. Parquoi preuoiantle plaifi : , qu’il demi: receuoirfl prie Venusfi de fortune il meurt en fi hon- nefl e combat,qu'elle l'em on: en l'on paradis. Tenu chofes echaycnt quelque ois a ceux qui font panier... nés damour, lus fi lon leur aueuglèe afl 'eâion, guère." lon hÿeñté 5e ce qu’il: en peniènr. ' '
and mfu‘gw mfi läm mac,
Quand en songeant ma follâtre j’acolle,
Laissant mes flancs sus les siens s’alonger,
Et que d’un branle habilement leger,
En sa moitié ma moitié je recolle: