Encepandant que tu frappes au but
De la vertu, qui n'a point sa seconde,
Et qu'a lons trais tu t'enyvres de l'onde
Que l'Ascrean entre les Muses but,
Ici, Baïf, ou le mont de Sabut
Charge de vins son épaule feconde,
Pensif je voi la fuite vagabonde
Du Loir qui traine à la mer son tribut.
Ores un antre, or un desert sauvage,
Ore me plait le segret d'un rivage,
Pour essaier de tromper mon ennui :
Mais quelque horreur de forest qui me tienne,
Faire ne puis qu'Amour toujours ne vienne
Parlant à moi, & moi toujours à lui.
M V R E T.
Emepaudanc.)Tandis que Baîfentemifa l’étudcfi a—z che d’aquerir la perfeâtion de vertu,& de fauoir,nôtm auteur était au pais de Vâdomoisfc du hanter les lieus folitaires,ponr {e defennuicr, 8; ne pouuoir toutefois tanrfaire,qu’Amour erpctucllemê: ne I'acompagnc. ne I’meanfi efi o c,le ùel,côbien qu’il fur de Cu- mcsfi cf! ce,queparcc qu'i fut nourrien vne ville de Bœotie,nomméc Afcre , il cfi communemenr nommé M‘a-eau. M41} guetguehnmm-Æns de Perruque" '
Mapurfi ajfre vignefifi 'luagge
Cm4.- ümfi fb' amer non veuxch &cgioundo m nuage! io en» lui.
Quel bien aurai-je apres avoir esté…