Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/278

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etc.


, MVIRETa' ' - 3' au»: anilon.) Voîant quelque Rift û dame tour— mentée des vens,fur la riuiere du Loîrf‍ilf‍ihbnu nq vent Borée , le priant de s’apaifer tant qu’elle via“; 3‘ bort. Homurrde la Sqtbi2.0uide, —S:ytbianq,f‍ipnîugu 'm'onu ' Horrif‍ir Bang. ‘

Luhnf‍l'mu.)l’arce qu’il a nm: de chair" 8: diûipei les nù’es,comme tcmoigne le commentaire d‘Amt, f‍ini celieu, ,__. '- - .1... m. l l

—pi;«:6açîo: élus-diva} Mm, , Ces trois mots,cb:f‍lênue,ebranlerocber, 8c îrf‍ltemer,‘ lbn: houreufemcn: côpolés a la manier: Greque: pour f‍inif‍ier les elïets du vent Borée,defquels il tir vante lu! mefmeI-en Ouide,dif'ant ain f‍i, “(pas nu'bi vù eîfchnu- rf‍if‍lia nuàila pela,

, Hdtf‍idd romriopndojà’qu ruban: nm. '; > arithye.) C’eü le nom d'vnc f‍ille du roi Erechtéenie la- ‘äuelle le vent Borée fut amoureux, ÿ: la rauit.Voi la En

u f‍if‍iême des‘M‘ctamorfofec.‘ MIgle.MuglerIè dit pro- prement du cri de: benfa. Mlgt'rr.

Soeur de Paris, la fille au roi d'Asie,
A qui Phebus en doute fit avoir
Peu cautement l'aiguillon du savoir,
Dont sans proffit ton ame fut saisie :

Tu variras vers moi de fantasie,
Puis qu'il te plait (bien que tard) de vouloir