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Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/287

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M V R I: T. ' ' ' _ D“ cm: man's.) Volant quelque foisl'n (lame l' .‘ Imam à ouurcr â l'cguille, il du,un ce: ouvrage mer— me: ne lui f‍inif‍ie que defcl’ oir. De: Crm mai-rit. Ho— '. mer: au troif‍iêmc de l'llia c raconte,que ln's,entrant en la chambze d‘l-l cleneh nouua faifant vn ouurage, auquel elle traflolt vne partie des combats qui ancien: def‍ia cf‍ic’ donnés entre les Grecs 8: les Tmiem. Tàv J“ ïvg‘ î! payé”. i f‍inira: îs-Èv 39x“: All'lkaualuzguxçluv, rokïæ: J“ Ëv 31mm! àËOÀu '1' Éuv 6' l-rnh'zpmv, R, Axaaäv xzkuxI-rémr. 0117:4 :4 Gaza. ) Gaze en vne maman: de toile de laquelle les Damoifellcs vfent à faire leurs ouurages.


Mon dieu que j’aime à baiser les beaus yeus
De ma maitresse, et à tordre en ma bouche
De ses cheveus l’or fin qui s’écarmouche
Si gaïement dessus deus petis cieus.

C’est, Amour, c’est ce qui lui sied le mieus
Que ce bel œil, qui jusqu’au cœur me touche,
Et ce beau poil, qui d’un Scythe farouche
Prendroit le cœur en ses nous gracieus,

Ce beau poil d’or, et ce beau chef encore
De leurs beautés font vergoigner l’Aurore,
Quand plus crineuse elle embellit le ciel.

Et dans cet œil je ne sai quoi demeure,
Qui me peut faire à toute heure, à toute heure
Le sucre fiel, & riagas le miel.


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