Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/295

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ODES

248

J ' amolijfante en nouueaii s cors.

Maintenant vne tnfîe pluie D’vn ar larmoiant noua ennuie. Maintenant les ^/Cjlrcs iumeaus D'émail enfieurifint les pleines. Maintenant l’E fl è loitles veines D ' idc g aiguillante en ruijjcatif.

Mous attfii, Melin, qui ne finîmes Immortels , mais fi agi les hommes,

S muant cet ordre, il ne faut pas Qufi nôtre irefoit immortelle. Balançant figement contre elle La rai fin pour ittfle compas.

N'as-tu point leu dedans H orner e,

lorsque plus lardante colère

Achille enfioit contre fin pot,

g ne l'allas la fige guerrier e

lui happant les cheneus derrière

Tout orrommclant larrefla coi ? o

la fa dague il aunit tirée,

Po u r tuer i h entier d'^/Ct réei Tant le courrons laiguillonnoit >

Sans clic, qui dans fin nature L'enuoia digerer fin ire Dont tout le fiel lut bouillonnoit.