Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/315

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3,68 DB P. DE RONSARD.

toute vergongneréquife, & a vne feur, & a voe pucel- le ofabien folliciter fon frere Caunus de Ion delhon-

neur, lequel la refufant, de dépit elle quitta le pais 6c

s’enfuit en Phrygie, ou elle fut muée en fontaine, qui porte encores auiourdhui fonnô.Voile neufuiefmeli urc de la methamorfofe d’Ouide. /W«)Pour iouir de f amie Eron,paflbit toutes les nuits le dcftroit d’El- lefpôte nomme auiourdhui le bras faint George. & ad- uint comme il pafloit l'yuer par la,prclïc des vcns ^ “ c la tempefte il fut noié . Voi ce qu’en a ccript Mulce.

Sur l’Ode d’Ambroife v “ de la porte.

Ld race des hommes. )Lcs homes refTemblent aus fueil- les des arbres. Voi Homere au fifiefme de L’iliade & au vint & vniêmc. ‘ /o«*»e»ce.IeundTe,viel mot franco». L'anelfe.V oi la fable dâs les Thériaques de Nicâdre.de L’anefli qui portoit la deefle leuneflefur fon dos comme a la fin elle la dôna a vn ferpent nome pour lui enfeigner quelque ruilTcau pour boire. Le mauvais tonneau. Voi le dernier hure de L’iliade d’Ho- mcre.&Pindare en fes Pythies.

Jÿ^Surlaiiij.Ode,

Les plis de fa robe pourprée.) Ses fueilles vermeilles re- pUées l’une près de l’autre, comme les plis d’vnbeau tellement.

F I N*

^Enfuit la table des motfc plus di- gnes a noter es Commentaires.

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