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Ronsard - Les Chefs-d’œuvre lyriques, édition Dorchain, 1907.djvu/66
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Il ne faut s’ébahir, disaient ces bons vieillards
3
Afin que ton honneur coule parmi la plaine
3
Mignonne, allons voir si la rose
3
Ô fontaine Bellerie — — — —
3
Couche sous tes ombrages verts
3
Du malheur de recevoir.. —
3
Ecoute, du Bellay, ou les Muses ont peur
3
Ecoute un peu, fontaine vive
3
Ifou vient cela, Pisseleu, que les hommes
3
Antres, et vous fontaines…
3
Ma douce jouvence est passée
3
Les épis sont a Cerès — — — —
3
Le petit enfant Amour —. •
3
Ma guitare, je te chante — — —
3
Dieu vous gard^, messagers f dites —
3
Bel aubépin verdissant —. —
3
Du grand Turc je tiai souci. — —
3
Les Muses lièrent un jour — — —
3
Versons ces roses en ce vin — — —
3
Sur toute feurette declose —. —
3
Nous ne tenons en notre main
3
La belle Vénus un jour.. —
3
T’oserait bien quelque poète — — —
3
Le jour que je fus né, Apollon, qui préside
3
Masures, désormais on ne peut inventer —
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Jà du prochain hiver je prévois la tempête
3
À mon retour {hé ! je m’en désespère’)
3
Pour retenir un amant en servage —
3
Plus étroit que la vigne à l’ormeau se marie
3
Je vous envoie un bouquet que ma main
3
Nous vivons, mon Belleau, une vie sans vie
3
Ecoute, bûcheron, arrête un peu le bras —
3
Puisque le lieu, le temps, la saison et l’envie
3
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