Page:Ronsard - Les Chefs-d’œuvre lyriques, édition Dorchain, 1907.djvu/67

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Hé ! Dieu ! qut je forte d’envie — — — — — 69
Bien que cette maison ne vante son porphyre — — " 7 2
Encores que la mer de bien loin nous sépare — — "7*
Bien que Bacchus soit le prince des vins. — — — yj
Ton esprit est, Ronsard, plus gaillard que le mien "73
Ronsard repose ici, qui, hardi dh f enfance — — 74

JOACHIM DU BELLAY (1524-1560)

Tout ce qu ici la nature environne — — — — "75
5 » notre vie est moins qu une journée — — — "75
Ceux qui sont amoureux leurs amours chanteront — — 76
France, mère des arts, des armes et des luis… jS
Heureux de qui la mort de sa gloire est suivie — — "77
f^ous dites, courtisans : Z^es poètes sont yous —. — y y
qu’heureux est celui qui peut passer son âge — — — 78
Il fait bon voir, Paschal, un conclave serre — — — 78
Marcher d’un grave pas, et d’un grave souci — — — 79
On ne fait de tout bois l’image de Mercure — —. 7^
Voici le carnaval, menons chacun la sienne — — — 80
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage — — 80
Telle que dans son char la Berecynihienne — — — 81
Ni la fureur de la JJamme enragée — — — — — 82
Toi qui de Rome émerveillé contemples — — — — 82
Comme le champ semé en verdure foisonne — — — 83
À vous, troupe légère— — — — • — "^3
Ayant après long désir — — — — — — 84

LOUISE LABE (1525-1566)

Oh ! si j’étais en ce beau sein ravie
Tant que mes yeux pourront larmes épandre

REMY BELLEAU (1528-1577)

Avril, l’honneur et des bois — — — —.
Ah ! je vous pri’, mes yeux, soyez-moi si courtois