Page:Ronsard - Les Chefs-d’œuvre lyriques, édition Dorchain, 1907.djvu/68

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ESTIENNE PASQUIER (1529-1615)

Ne le "Voyant, quand je t’aimais — — — — — 89

ESTIENNE DE LA BOÉTIE (1530-1587)

Ce Jourd’/iiii, du soleil la chaleur altérée — — — — 90

OLIVIER DE MAGNY (1530-1559)

Bienheureux est celui qui, loin de la cite — — — — 90
Saintes Jilles d’Eurydomène — — — — — "9*

ESTIENNE JODELLE (1532-1573)

Tu sais, o vaine Muse, o Muse solitaire — — — 9I
Comme un qui s’est perdu dans la foret profonde — — 94

JEAN ANTOINE DE BAÏF (1532-1590)

La froidure paresseuse…… ^/j.

ROBERT GARNIER (1534-1590)

Pauvres files de Sion — — — — — — 96
Comment veut-on que maintenant — — — — — 98

JEAN PASSERAT (1534-1602)

J’ai perdu ma tourterelle — — — — • "99
Laissons le lit et le sommeil —----— loo
Sire, Thulène est mort ; fat vu sa sépulture — — — lOI

VAUQUELIN DE LA FRESNAYE (i 535-1607)

vent plaisant, qui d’haleine odorante — — — — 102
Philis, quand je regarde au temps prompt et léger — — I02
Entre les feurs, entre les Us. — — •. 103
Qitelle es-tu, dis-le moi, si pauvrement vêtue —. — 103