teuse quelques pièces que certains éditeurs posthumes de Ronsard, y compris les deux derniers, lui avaient attribuées sans hésitation, notamment la chanson A ce malheur qui jour et nuict me poingt et le fragment d’une traduction du Plutus d’Aristophane, qui n’ont été insérés parmi les œuvres de Ronsard qu’a partir de 1617, plus de trente ans après sa mort (p. 76, notes 1 et 3).
Je n’ai énuméré que les œuvres de Ronsard, sans tenir compte des pièces signées par ses amis et admirateurs qui figurent en tête, à l’intérieur ou à la fin des recueils. — Dans la parenthèse qui suit chaque incipit, j’ai indiqué d’abord la référence à l’édition Blanchemain, tome et page, ensuite la référence à l’édition Marty-Laveaux, tome et page. Quand la pièce n’a été réimprimée que par Marty-Laveaux, ou quand elle ne l’a été ni par lui ni par son prédécesseur, j’ai donné en note toutes les références désirables. — J’ai signalé par des crochets les lettres ou les mots qui sont tombés à l’impression du texte princeps et furent rétablis dans les éditions postérieures. — Enfin, je me suis servi des abréviations suivantes :