Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/22

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Le cruel Amour vainqueur (II, 226 ; II, 290).
Facond neveu d’Atlas, Mercure (II, 421 ; VI, 83).
Je ne suis jamais paresseus (II, 423 ; II, 297).


Contenu du Quatrième livre :

Quand mon Prince épousa (II, 241 ; II, 308).[1]
Celui-ci en vers les gloires (II, 457 ; VI, 109).
Quiconques ail mon livre pris (II, 459 ; VI, 111).
L’ardeur qui Pythagore (II, 246 ; II, 312).
Antres, et vous fontaines (II, 249 ; II, 315).
Loir, dont le cours heureus distille (II, 425 ; VI, 85).
Gui, nos meilleurs ans coulent (II, 253 ; II, 319).
Tu me fuis d’une course viste (II, 427 ; VI, 86).
O déesse puissante (II, 256 ; II, 322).
Chanson, voici le jour (II, 427 ; VI, 87).
Dedans ce [grand] monde où nous sommes (II, 428 ; II, 323).
Somme, le repos du monde (II, 257 ; II, 324).
Dieu te gard, l’honneur du printens (II, 430 ; VI, 88).
Nimphe aus beaus yeus qui souffles de ta bouche (II, 431 ; VI, 327)
Source d’argent toute pleine (II, 432 ; VI, 89).
L’iver lors que la nuit lente (II, 260 ; II, 329).
Je n’ai pas les mains apprises (II, 433 ; II, 341).
Plus dur que fer j’ai fini mon ouvrage (II, 378 ; II, 462).


Contenu du Bocage :

Voici venir d’Europe tout l’honneur (VI, 297 ; VI, 201).[2]
Si autrefois sous l’ombre de Gatine (II, 394 ; VI, 57).
Si cet enfant qui erre (II, 463 ; VI, 115)
En Mai, lors que les rivières (II, 466 ; VI, 118).
Soion constants, et ne prenon souci (II, 398 ; VI, 61).
Que tardes-tu, veu que les Muses (II, 469 ; VI, 122).
Delaisse les peuples vaincus (II, 470 ; VI, 123).
Puis que la mort ne doit tarder (II, 400 ; VI, 64).
O Dieu des exercites (II, 451 ; VI, 102).
Le printens vient, naissez fleurettes (II, 453 ; VI, 104).
Esperons nous l’Italie estre prise (II, 454 ; VI, 106).
Quand je seroi si heureus de choisir (II, 402 ; VI, 66).[3]
Ami, l’ami des Muses (II, 404 ; VI, 68).
Deus, et trois fois heureus ce mien regard (II, 456 ; VI, 107).

  1. Epithalame paru dès 1549. V. ci-dessus, p. 1.
  2. Avantentrée, parue dès 1549. V. ci-dessus, p. 1.
  3. Ode, parue dès 1547. V. ci-dessus, p. 1.