D’Homere grec la tant fameuse plume (VII, 191 ; V, 262).
Grossi-toi, ma Muse Françoise (II, 461 ; VI, 113).
L’inimitié que je te porte (II, 157 ; II, 207).
Donque, forest, c’est à ce jour (II, 462 ; VI, 114).[1]
Ma petite columbelle (II, 160 ; II, 211).
O pucelle plus tendre (II, 389 ; VI, 53).
Telle fin que tu vouldras mettre (II, 472 ; II, 218).
Lict, que le fer industrieus (II, 409 ; VI, 74).
Tableau, que l’éternelle gloire (II, 410 ; VI, 75).
Cependant que tu nous dépeins (II, 408 ; VI, 72).
Contenu du Troisième livre :
D’où vient cela (mon Prelat) que les hommes (II, 223 ; II, 286).
La victorieuse couronne (V, 267 ; VI, 132).
Dieu crespelu (qui autrefois…) (II, 413 ; VI, 78).
Il est maintenant tens de boire (II, 459 ; VI, 111).
Les fictions dont tu decores (II, 414 ; II, 267).
Argentine fonteine vive (II, 461 ; VI, 113).[2]
Que les formes de toutes choses (II, 208 ; II, 269).
O terre, ô mer, ô ciel épars (II, 209 ; II, 270).
Nuit, des amours ministre et sergente fidele (V, 268 ; VI, 133).
Ja-ja les grans chaleurs s’émeuvent (II, 415 ; II, 272).
En quel bois le plus séparé (II, 212 ; II, 275).
Bien qu’en toi, mon livre, on [n’]oie (II, 443 ; VI, 94).
O grand beaulté, mais trop outrecuidée (II, 213 ; II, 276).
Nous avons quelque fois grand’faute (II, 214 ; II, 277).
Mon ame, il est tens que tu randes (II, 216 ; II, 280).
Baiser, fils de deus levres closes (II, 486 ; VI, 356).
Et puis que l’orage est à son tour revenu (II, 218 ; II, 281).
Vous faisant de mon écriture (II, 418 ; VI, 79).
Le jour pousse la nuit (II, 219 ; II, 283).
Où allez-vous, filles du ciel (II, 419 ; VI, 80).
Les douces fleurs d’Hymette aus abeilles agréent (II, 221 ; II, 285).
Si les Dieus (II, 464 ; VI, 116).
Ne s’effroier de chose qui arive (II, 225 ; II, 288).
Si les ames vagabondes (II, 465 ; VI, 117).
- ↑ L’ode sur le même sujet qui se trouve au tome II de Blanchemain, p. 159, et au tome II de Marty-Laveaux, p. 210, n’est qu’une variante de celle-ci. Les deux éditeurs ont donc eu tort de placer la rédaction primitive parmi les Odes retranchées.
- ↑ L’ode sur le même sujet qui se trouve au tome II de Blanchemain, p. 208, et au tome II de Marty-Laveaux, p. 268, n’est qu’une variante de celle-ci.
Même remarque que dans la note précédente.