Un enfant dedans un bocage (I, 434 ; VI, 45).
Quand je te veus raconter mes douleurs (I, 190 ; I, 177).
Il m’advint hyer de jurer (I, 207 ; I, 184).[1]
Je suis tellement langoureus (I, 200 ; I, 177).[2]
Je te hay bien (croy moy) maitresse (I, 441 ; VI, 9).
Si le ciel est ton pays et ton pere (I, 164 ; I, 146).
Si tôt que tu as beu quelque peu de rosée (I, 176 ; I, 156).[3]
J’ay cent mile tormentz, et n’en voudrois moins d’un (I, 179 ; I, 159).
Mars fut vôtre parrain quand naquistes, Marie (I, 174 ; I, 154),
Belle, gentille, honneste, humble, et douce Marie (I, 176 ; I, 157).
Mes soupirs, mes amis, vous m’estes agreables (I, 178 ; I, 158).
Comment au departir l’adieu pourroy je dire (I, 177 ; I, 157).
Quand je vous voy, ma gentille maitresse (I, 178 ; I, 158).[4]
Si quelque amoureus passe en Anjou par Bourgueil (I, 179 ; I, 159).
Ma maitresse est toute angelette (I, 163 ; I, 145).
Je ne veus plus que chanter de tristesse (I, 153 ; I, 137).[5]
Celui qui est mort aujourdhui.(II, 236 ; II, 302).
Quand je dors je ne sens rien (II, 237 ; II, 304).
Comme la cire peu à peu (I, 204 ; I, 181).
Hier au soir que je pris maugré toy (I, 212 ; I, 188).
Plus tu cognois que je brusle pour toy (I, 411 ; VI, 21).
Hé Dieu, que je porte d’envie (VI, 348 ; II, 41).[6]
Te tairas tu, Gay babillard (VIII, 143 ; VI, 375).
Dieu vous gard, messagers fidelles (II, 274 ; II, 346).
Serai-je seul vivant en France de vôtre âge (V, 330 ; VI, 263).
Si désormais le peuple en plaisir delectable (V, 329 ; II, 13).
L’an est passé, et ja l’autre commence (V, 330 ; VI, 379).
- ↑ Var. des éd. Bl. et M.-L. : Voulant, ô ma douce moitié. Voici le premier couplet dans l’éd. princeps :
Il m’advint hyer de jurer
Qu’on voirrait mon amour durer
Apres la mort, ma chere amye,
Et afin de t’asseurer mieux
Je fis le serment par mes yeux
Et par mon cœur et par ma vie - ↑ Var. de l’éd. Bl. : Je suis tellement amoureux ; de l’éd. M.-L. : Je suis si ardent amoureux
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Si tost qu’entre les bois tu as beu la rosée
- ↑ Ibid. : Quand je vous voy, ma mortelle Deesse
- ↑ Var. des éd. Bl. et M.-L. : Je veux chanter en ces vers ma tristesse
- ↑ C’est à la fin de cette 43e pièce que s’arrête l’exemplaire de l’Arsenal.