Croissez, enfant du Roy le plus grand de l’Europe (V, 309 ; II, 12).
Roy, qui les autres Rois surmontés de courage (V, 302 ; VI, 261).
Ni du Roy, ni de vous, ni de mon cher Mecene (V, 317 ; VI, 261).
Delos ne reçoit point d’un si joyeus visage (V, 326 ; II, 11).[1]
Mais d’où vient cela, mon Odet (II, 238 ; II, 305).
O belle et plus que belle et agreable Aurore (II, 481 ; VI, 384).
Pour avoir trop aimé votre bande inéquale (II, 483 ; VI, 382).
O ma belle maitresse, à tout le moins prenés (I, 402 ; VI, 13).
Penses tu, mon Aubert, que l’empire de France (VIII, 139 ; VI, 373).
Tu es un trop sec biberon (II, 169 ; II, 224).
Je suis un demidieu quand assis vis à vis (I, 210 ; I, 186).
Si Je t’assaus. Amour, Dieu qui m’es trop cognu (I, 209 ; I, 185).
Mon fis, si tu sçavois que lon dira de toy (I, 141 ; I, 125).[2]
L’heure que vous avez si longtemps attendue (VI, 205 ; V, 188).
Non, ne combattez pas, vivez en amitié (VI, 209 ; V, 192).
Je ne serois digne d’avoir esté (VI, 292 ; VI, 196).
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Delphe ne reçoit point…
- ↑ La Continuation des Amours de 1555 et la Nouvelle continuation des Amotirs de 1556 furent réimprimées en un seul volume, d’abord à Rouen et à Bâle (1557) textuellement, ensuite à Paris (1557) avec quelques remaniements de texte mais sans addition nouvelle (les trois Gayetez insérées entre
les deux parties avaient déjà paru dans les Folastries de 1533). Cette dernière édition est l’in-8° de 176 pages que Bl. signale dans son tome VIII, p. 80 ; mais il s’est trompé en l’intitulant Nouvelle continuation des Amours ; elle ne porte que ce simple titre général Continuation des Amours (B. N., Rés. p. Ye 370 ; ni priv. ni achevé d’impr.)
Cf. mon Ronsard poète lyrique, pp. 173 à 175. - ↑ Paris, A. Wechel, in-4o de 6 ff. — B. N., Rés. Ye 493 ; ni priv. ni achevé d’impr.
- ↑ Paris, A. Vechel, in-4o de 6 ff. — B. N., Rés. Ye 491 ; ni priv. ni achevé d’impr.
- ↑ Paris, A. Wechel, in-4o, pièce de 116 vers. — B. N., Rés. Ye 496 ; ni priv. ni achevé d’impr.