Quel son masle et hardy, quelle bouche héroïque (V, 354 ; VI, 265).[1]
Tout le cœur me débat d’une frayeur nouvelle (III, 265 ; III, 187).
L’aage premier de l’homme Enfance est appellé.
La puérilité est nostre aage second.
Le tiers est de huict ans, par Venus gouverné.
La jeunesse est le quart guidé par le Soleil.
Le quinct est le Viril suivant l’aspect de Mars.
Le six soubz Juppiter dans douze ans fait son cours.
Le Caduc est le Sept des Aages le dernier.
Ceste Françoise Grecque aux beaux cheveux chastains (I, 443 ; VI, 408). [3]
Elle contenait 32 pièces nouvelles que voici :
Première partie (Amours, Sonnets, Gayetez, La Charite) :Six ans estoient coulez, et la septiesme année (I, 362 ; I, 337).
Ja du prochain hyver je prevoy la tempeste (I, 367 ; I, 343).
Encor que vous soyez tout seul vostre lumiere (I, 373 ; I, 349).
Nous ne sommes esprits, mon Galland, nous ne sommes (V, 347 ; II, 33). [5]
- ↑ Publié en tête de la Troade, tragédie de Robert Garnier. Paris, imprimerie Mamert Patisson, au logis de Rob. Estienne, 1579, in-8o.
- ↑ Plaquette in-4o de 9 ff. Paris, G. Buon, 1579.
- ↑ Publié à la suite de Cleonice ou les Dernières Amours de Ph. Desportes. Au ſt 152 r° des Premières Œuvres de Desportes, Paris, Mamert Patisson, 1600, in-12.
- ↑ Paris, G. Buon, in-folio, divisé en sept parties. Privilège du 7 décembre 1583 ; achevé d’imprimer du 4 janvier 1584. — B. N., Ye 14. — C’est cette édition qui a été reproduite par Marty-Laveaux dans la collection de la Pléiade française.
- ↑ On lit : Nous ne sommes épris, mon Galland… Mais c’est une faute d’impression que M.-L. a reproduite sans la signaler.