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Page:Rosny - La Fauve, 1899.djvu/309

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leur, elle joua avec son triste cœur sur ses lèvres ; elle suscita l’admiration et l’enthousiasme. Enfin, acclamée, dans le délire du public, dans les cris de toute une foule amoureuse, couverte de fleurs, félicitée par mille voix, elle connut la douleur d’être et, quand le rideau tomba, il lui parut qu’il tombait sur sa vie.


FIN