Page:Rosny - La force mystérieuse, 1914.djvu/148

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trois degrés de plus que la nuit précédente. Une immense lassitude accable Meyral, mais cette lassitude aussi est normale. Il ne résiste pas au sommeil : à quoi bon ! Sans lumière, n’est-il pas réduit à l’impuissance ? Il y a bien la petite lueur du Holtz, mais pour l’obtenir il faut s’atteler à la machine. Mieux vaut dormir. Pendant son repos, les forces normales continueront à reprendre l’empire…