Page:Rosny aîné – La Tentatrice, 1897.djvu/27

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que je souffre d’une volonté étrangère, à laquelle je ne puis céder sans recourir au mensonge et à l’hypocrisie ou à l’ingratitude ? Encore me serait-il facile d’échapper en me sacrifiant, — mais je ne puis le faire qu’en rendant malheureuse celle qui me domine, en chagrinant mon bienfaiteur et en ôtant la sécurité à ma pauvre mère.


Il y a aujourd’hui près de quatre ans que je fus recommandé à M. Ditchfield. C’est un homme qui joint d’étranges défauts aux plus charmantes qualités. Sujet à des crises de