Page:Rosny aîné – La Tentatrice, 1897.djvu/56

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— En ce cas, attendons, fit le brave homme.

Et il se mit à me parler de son « double miroir magnétique pour photographier les esprits », instrument auquel il me faisait travailler depuis plusieurs jours et auquel il attachait les plus grandes espérances.

Mary pendant ce temps finissait son premier déjeuner, — elle y avait à peine touché, — puis se retirait. Nous travaillâmes une partie de la matinée, mon maître et moi, d’autant que la réalisation de son fameux miroir soulevait de petits problèmes qui m’intéressaient véritablement.

Vers onze heures seulement