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ÉPILOGUE


Les jours avaient coulé dans la clepsydre éternelle, Costanza avait disparu au fond de ce grand rêve qu’est le passé des êtres et des choses. Le sieur Tenaille, Martin et Courte-Échelle attendaient dans le calme des geôles l’heure d’être salés et fumés. M. Dubard n’ignorait point qu’une promotion méritée lui permettrait d’aspirer bientôt à des fiançailles somptucuses ; Duguay, après une période de neurasthénie, connaissait une gloire nouvelle, avec l’affaire Paturalle, où il déployait le plus astucieux génie.

Cet après-midi, l’été enchantait ces sylves