Page:Rosny aîné - La Jeune Aventureuse, 1928.djvu/196

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— Je les aime, Marcelle… presque autant que vous les aimez.

— Alors, que votre volonté soit faite…

— Je voudrais que ce fût aussi la vôtre !

— C’est aussi la mienne.

Il poussa un cri de joie et couvrit de baisers la main, le bras et les cheveux de Marcelle. Elle souriait, elle savait qu’il serait doux et fidèle : et l’amour qu’elle avait si longtemps contenu croissait en elle comme les plantes sacrées au bord du Gange.