Page:Rosny aîné - La Mort de la Terre - Contes, Plon, 1912.djvu/354

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
340
CONTES. — DEUXIÈME SÉRIE

« Hélas ! conclut le commandant, cet homme avait risqué sa vie pour sauver la mienne, il avait été héroïque, généreux, hospitalier et même délicat… il méritait que je l’aimasse comme un frère, il n’aurait eu qu’un mot à dire pour avoir la moitié de ma fortune… et il me chipait quelques louis ! Ah ! que l’âme humaine est incohérente ! »